- 770
- Absolute Poker
- Allemagne
- ARJEL
- Bank of Poker
- Belgique
- BetClic
- Betnet
- Bingo
- Black Friday
- bwin
- Casino
- Casino de Spa
- Casino777.be
- Danemark
- Espagne
- Etats-Unis
- France Pari
- Full Tilt Poker
- Grattage
- Jeux 365
- Nexon
- Non classé
- Paris sportifs
- Partouche
- Playtech
- Poker
- PokerStars
- Press Release
- Unibet
- Virgin Games
- Winamax
Betnet, l’opérateur de paris hippique en ligne traverse actuellement de sérieux problèmes de redressement judiciaire suite à des difficultés sur le plan financier.
Une procédure de redressement judiciaire a été ouverte sur de Betnet auprès du tribunal de commerce de Compiègne à cause des difficultés financières rencontrées par le groupe ces derniers temps. A l’issue de cette enquête judiciaire, le groupe Betnet attend actuellement les offres de repreneurs potentiels et en attendant cette reprise, le site est entre les mains de l’administrateur judiciaire à Amiens représenté par Maître Jean Rongeot.
Selon Patrick Barbe, le président et fondateur du groupe Betnet, le site Betnet.fr a connu un succès phénoménal auprès de ses quelques 14.500 clients dont la plupart sont des joueurs actifs. Après seulement un an d’activité, Betnet.fr est cependant contraint de céder à un autre opérateur ses activités pour cause de concurrence déolyale selon ses dirigeants. Patrick Barbe a tenu à souligner que les principales raisons qui ont poussé la société à atteindre une telle situation serait la concurrence écrasante de Genybet et de Pmu, les monopoles historiques et qui appartiennent à des sociétés de course. En organisant des courses hippiques, ces deux dernières interdisent d’autre part aux opérateurs en ligne toute forme de publicité sur les hippodromes. Et pourtant, bien que pmu.fr soit un opérateur hippique en ligne, PMU en dur reste toutefois une référence bien connue des gens qui vont instinctivement se rappeler du pmu en ligne. Et Patrick Barbe de rappeler qu’il est impossible pour les nouveaux opérateurs de rivaliser avec ce monopole des courses hippiques car il faudrait d’énormes moyens marketing et financiers. De plus, les sociétés des courses de chevaux ont aussi interdit à tous les professionnels des courses mais aussi à leurs membres d’effectuer toute forme d’investissement chez les nouveaux opérateurs.